On a testé pour vous...
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- Écrit par : Yvan Curdy
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Test de la « Moxie »
Une nouvelle marque est née ! Advzone… Il s’agit d’un mélange du savoir-faire des constructeurs Advance et Ozone, cette collaboration a débouché sur un tout nouveau modèle la « Moxie »
Pourquoi Advance ? Pour leur célèbres « winglets
Pourquoi Ozone ? Pour tout le reste…
Bon… ok je déconne ! Mais je ne pouvais pas m’en empêcher en voyant Ozone se mettre aux winglets ! Plaisanterie mis à part j’attends d’en voir l’utilité sur une aile de catégorie « A » perso je suis très sceptique…
Mais revenons à mon test, dans le cahier des charges de cette Moxie le gros défis était qu’elle remplace la Mojo6 et l’Élément3, deux ailes parfaites à mes yeux mis part quelques petits détails, comme des suspentes trop fines pour la Mojo6 et donc moins facile à démêler pour un débutant et donc plus de risque de décoller avec un nœud. Je crois pouvoir dire que le défis a été relevé car niveau démêlage de bonnes grosses suspentes, avec des couleurs bien différentes ça change tout. En plus… il y en a moins… de suspentes, ceci pour compenser le gros diamètre et donc retrouver moins de traînée.
Niveau pilotage c’est carrément agréable et effectivement un mélange de la Mojo6 et de l’Elément3, comme par exemple un point de décrochage très, très bas (les instructeurs vont perdre moins de cheveux…) mais dans la première moitié du débattement une bonne réactivité.
Le gonflage est bluffant ! j’ai essayé plusieurs fois de ne pas prendre les élévateurs A et ça monte tout seul !
Je n’ai pas pris le temps de faire un comparatif de performance, mais si Ozone dit qu’elle vole aussi bien que la Mojo6 cela doit être vrai.
Les fourchettes de poids sont à mes yeux trop grandes ! 60 – 90 kg pour la S ! Imaginez la différence de vitesse et de réactivité avec 30 kg de plus ou de moins!!! J’ai testé la S en milieu de fourchette à 80 kg et c’était parfait. Cette Moxie devrait ravir tous les pilotes débutant pour leur vols d’école, ainsi que les deux ou trois années qui suivront, leur premiers vols thermiques et leur premiers petits cross…
Si les pilotes préfèrent une aile plus adapté au vol rando, la Jomo2 est toujours d’actualité chez Ozone.
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Test de la Birdy de Supair:
Après l’Eona3 la « A » standard et l’Eiko2 la « A light » Supair à sortit la Birdy une « A+ ». Cela fait beaucoup de « A » pour le revendeur que je suis, mais après les avoir toute bien testé je dois dire qu’elles ont chacune leur place et leur différences.
- L’Eona3 : La « A standard » pour les écoles et les débutants qui désirent une aile simple et vraiment gentille.
- L’Eiko2 : La « A light » pour les débutants qui savent qu’ils se dirigeront vers les vols randos en particulier
- Et la Birdy : La « A+ » qui s’adresse aux débutants qui visent les vols thermiques et le cross. Tout en sachant qu’elle sera un peu plus exigeante qu’une Eona3.
J’en viens maintenant à mon test de cette Birdy
- Gonflable parfait !
- Pilotage doux, ça glisse, c’est précis on en oublierais que c’est une A...
- Mais un vrais point dur avant le décrochage nous rappelle c’est bien une A !
- Un virage en thermique à faire l’intérieur des « guns »… une efficacité impressionnante !
- Vitesse: Avec un ptv 82 kg pour la S : 34 km/h bras haut 41 km/h accéléré, donc pas rapide… Mais ça tombe bien puisque ce n’est pas le but et c'est ce qui la rend si agréable pour l’apprentissage du thermique.
Lors de mon dernier test j’ai volé 45 mn à Roquebrune, dans du thermique de + 1 à + 3, des pilotes avec des B+ et C ont trouvé que ça "chahutait" alors que j’ai faillis m’endormir… C’est dire si cette aile absorbe les turbulences tout en restant très maniable, la Birdy est à mes yeux une réussite !
Mes conseils :
- Volez entre le milieu et le haut de fourchette de PTV, en bas elle sera à coup sûr trop molle…
- Pour les élèves et les instructeurs… Attention aux 3.6 engagés ça part assez vite ! Par-contre peu d’abattée même si on ne stoppe pas le tangage, donc pas trop de frayeur à la sortie…
- En fermeture latérale 40% même pas besoin de contrer ça vole droit tout seul !
Cette aile pourrait bien plaire aux « vieux » pilotes qui n’ont plus envie de « b » ou « C » mais qui cherchent à voler toute en tranquillité...
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Test de la Swift 6 d’Ozone:
Comme prévu… la version légère de la Rush 6 est une merveille, un bijou, une réussite totale ! Il faut que je consulte un dictionnaire pour trouver de nouveaux adjectifs, car parfait, magnifique, idéale ne suffisent plus !.. Elle est encore plus délicieuse en virage que la Rush6 et l’accélérateur est le plus doux que je n’aie jamais vu ! Il faut à peine appuyer dessus pour qu’il agisse, je sens que je vais vouloir voler encore plus vite lors de mes prochains cross
Je l’ai testé avec un cocon léger type « BV1 » et « F-Race » ou « Delight4 » et j’avais le « combo » parfait pour m’attaquer à la prochaine X-Alps… Dans mes rêves en tout cas 😂..
J’ai cru que j’avais des hallucinations… lorsque j’ai vu les poignées de freins ! Incroyable, Ozone a enfin mis des poignées dignes de ce nom ! A croire qu’ils ont fini par pouvoir vider leur stocks de vieilles poignées des années 80… Et encore plus incroyable ! Ils se sont mis à l’émérillon ! Alors là chapeau Ozone vous n’êtes plus « à la rue » côté freins c’était le moment ...
Bon, toutes ces louanges c’est pour ce qui concerne le vol MAIS !.. Je dois quand-même avouer que j’ai trouvé deux petits défauts…
- Le gonflage : Avec des élévateurs « A » très courts je trouve que la prise en mains n’est pas des plus confortables, c’est une tout petit défaut auquel je suis sûr on peut très vite et très bien s’habituer
- Le nouveau design : Il est moche !!! J’aimais tellement le précédent mais bon ça c’est juste un avis de goût et de couleurs et heureusement que nous n’avons pas tous le mêmes gouts… vous imaginez si toutes les femmes me trouvaient beau ! Ce serait fatiguant 😂…
Vous pouvez bien-sûr tester ce « chef-d’œuvre » aux Ailes du Léman
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Test de la Delight4 de Supair
Cela fait des années… que je ne trouvais rien de mieux que ma Forza d’Ozone comme harnais-cocon niveau confort et stabilité. Et comme Ozone ne fabrique plus la Forza je ne savais pas trop quoi conseiller à mes clients. Et Sup’air a sorti la Delight3, ce cocon était très bien mais juste un petit peu trop instable à mon goût pour monsieur tout le monde. Donc je le proposais mais tout en cherchant mieux.
Et bonne surprise Sup’air décide de sortir la Delight4 ! Enfin, alors que je n’y croyais plus… voici le cocon parfait !!!
- Stabilité impeccable
- Confort encore amélioré
- Énorme place de rangement dans le dos et sous les fesses
- Cockpit "géant" mais qui ne bouche pas trop la vue
- Poids et volume très acceptable 3,8 kg pour la M
Je l’ai testé durant deux semaines de stage cross à st André les Alpes, accumulant plus de 40 heures de vol, avec des ailes B+ et C, la stabilité est parfaite tout en pouvant desserrer la ventrale pour que ça bouge plus si on le désire.
Le confort est encore mieux que ma Forza… je ne pensais pas cela possible sans augmenter le poids et le volume.
Bravo l’équipe Sup’air votre Delght4 est parfaite !
Je n’ai pas opté pour la version « sport » avec le dos gonflable et profilé, car le version simple a plus de place dans la poche dorsale. Et pour la performance que la version sport devrait amélioré… je n’en n’ai pas vraiment besoin. Par-contre pour les crosseurs purs et durs et "bouffeurent" de km je comprends ce choix.
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Test de l’Eiko2 taille 16 de Supair:
Si vous avez lu mon test des tailles 19, 21 et 23, vous savez tout le bien que je pense de cette Eiko2. J’attendais de recevoir la taille 16 qui du coup est une « mini-voile » afin de la comparer à celles que je vole déjà.
Pas de mauvaise surprise ! Comme je m’y attendais ça va vite, c’est réactif, très joueur j’adore… Je me réjouis du vol à skis, ça va décoiffer !
Malgré tout cette aile reste stable lorsqu’on la laisse faire, pas de roulis parasite qui pourrait provoque du sur-pilotage si l’on n’est pas habitué à ces petites tailles. Elle est vraiment parfaite comme première mini-voile et même pour les habitués. En plus son poids et son volume invitent au voyage… vol rando à pied ou à skis.
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Test de la Eiko2 de Sup’Air.
La gamme Sup ‘Air était à mes yeux presque… complète, il manquait juste une aile en « A » légère pour les pilotes qui viennent au parapente dans le but d’effectuer des vols rando. L’Eona3 est une aile parfaite pour les débutants (entendez les 150 à 200 premiers vols, formation comprise) mais elle n’est pas légère. L’Eiko2 vient combler ce manque, conçue sur les bases de l’Eona3 cette Eiko2 est l’aile qu’il manquait à Sup ’Air et qui comblera les apprentis oiseaux ainsi que les instructeurs, car il s’agit d’une vraie « A » avec la sécurité passive qu’il faut tout en étant quand-même bien joueuse !
Mais attention ! Cette remarque s’adresse à mes collègues moniteurs de parapente : si je peux me permettre de leur donner un conseil… mettez vos élèves entre le milieu et le bas de fourchette. Car lorsqu’elle est chargée en haut de fourchette cette Eiko2 devient vraiment dynamique et joueuse pour des pilotes aguerris mais carrément trop pour des débutants ! D’ailleurs le constructeur écrit cette phrase dans la présentation de son bébé : « En petite taille en haut de fourchette de PTV, elle ravira les pilotes à la recherche de vitesse, autant en vol montagne qu’en soaring dans le vent fort ». Effectivement je me suis acheté pour moi… la taille 19 et avec mon poids nu et sec de 69 kg, cette Eiko2 est ma nouvelle aile montagne et je me réjouis déjà du vol à skis… Je n’ai pas encore testé la 16, ce sera peut-être ma prochaine « mini-voile » ?!
Petit détail très malin... les petites attaches en hypalon cousues sur l’extrados pour fixer votre aile en cas de pente très abruptes et glissantes ! (voir photo) ! Et avec l’aile Sup’Air vous livre des « picots » à planter dans le sol, Il sont vraiment pensé à tout !
Niveau poids ce n’est pas la plus légère et tant mieux ! Car ces ailes avec comme élévateurs des lacets de chaussures et comme suspentes du fil dentaire… C’est vraiment nul lorsque vous êtes en montagne sur des sols autres que de l’herbe bien grasse. Les 300 grammes en plus sont souvent dans le « gras du bide » des pilotes… Personnellement c’est plutôt 1'000 grammes que j’ai en trop mais je l’assume pleinement car j’aime trop les meringues et la crème double…😂
Vous l’aurez compris cette Eiko2 va ravir toute sortes de pilotes du tout débutant au tout chevronné selon le PTV que l’on y mettra !
- Sup’Air propose cette Eiko2 dans les tailles allant de 16 à 26 ! Vous pouvez tester toutes les tailles aux Ailes du Léman
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Test de la Rush « six » de Ozone
Ils l’ont fait !!! La Rush 5 était parfaite et bien la « six » est encore mieux ! Comment faire mieux que parfait me direz-vous ? Voici mes explications :
- Un pilotage avec un peu moins de débattement mais tout de même un point dur assez bas. Donc pour ceux qui n’aimaient pas le pilotage Ozone car pas assez direct, cette fois vous aimerez.
- Un sentiment de sécurité passive d’une homologation « B » mais des performances de B+++…
- Un virage en thermique d’une rare aisance, une maniabilité et précision suisse… (Ah non Ozone est plutôt Française et Anglaise !..)
- Ils ont mis la poignée sur les « C » pour gérer le tangage lors des transitions accélérées, c’est marrant c’était un des petits défauts à mes yeux sur la 5 ! Merci Ozone…
- C’est pour moi la meilleure Rush qu’il y ait eu jusqu’à maintenant et Dieu sait si j’ai aimé les précédentes !
- Qund il faut descendre pour ne pas se faire aspirer pour un cumulus gourmand.. Les oreiles sont très efficaces et surtout très faciles à faire. Mon pilote test spécialiste des oreilles😂 Julien, a pu les tester en "vrai"... lorsque nous volions entre st André les Alpes et Dormiouse un jour où nous devions vraiment slalomer entre les nuages. alors que moi avec ma Delta3 je transpirais pour ne pas me faire "engloutire"...
- Seul bémol, mais je dois m’y faire car toute les marque s’y sont mis à mon grand désespoir… des suspentes non gainées et très fines. Je fais partie des « dinosaures » qui ont connu des "cordes" à la place des suspentes, qui ont vu la merveilleuse évolution du matériel, mais aussi la « dérive » de la recherche de la performance au prix de fils dentaires à la place suspentes ! Mais bon, le résultat en vol est tellement magnifique que je finirai bien par m’y faire…
Niveau PTV mettez-vous entre le milieu et le haut pour profiter pleinement de la vivacité de ce petit bijou.
Vous l’aurez compris, si vous cherchez une « B sport » vous devez tester la Rush 6
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Test de l’Eona3 de Sup’Air
Vous avez peut-être lu mon test de l’Eona2 en 2020 ? je la trouvais un ton en dessous des « A + » de l’époque. Avec l’Eona3 ce n’est plus le cas ! Sup’Air a maintenant une gamme parfaite avec une « A+ » une B gentille » une « B sport » et une « C ». Dans l’ordre : Eona3, Leaf light2, Step light, et Savage.
Revenons à cette Eona3, comme je l’ai dit souvent, la conception des ailes en « A » est très compliquée car les clients désirent des ailes « bétons » mais avec quand-même de la performance et un pilotage agréable, sans oublier un « point dur » qui prévient du décrochage afin de ne fait pas trop perdre de cheveux aux instructeurs… mais aussi aux débutants à qui sont adressé ses « A+ ». Le problème de ce point dur c’est que quelques fois il est trop haut et du coup on se retrouve avec une aile trop physique, ce qui n’est pas le cas avec cette aile.
Cette Eona3 a toutes ces qualités il ne reste plus qu’à Sup’Air à proposer une Eona3 light pour le marché suisse… et les futurs vainqueurs de la X-Alps… et leur gamme sera vraiment complète !
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Test de l’UFO de Airdesign
Encore une nouvelle simple surface, décidemment les constructeurs « s’entêtent » cédant peut-être à la demande de leur clientèles ?!..
Vous l’avez compris je ne suis pas fan des simples surfaces pour deux raisons principales leur manque cruelle de ressource à l’atterrissage et leur manque de vitesse !
Oui leur gonflage est incroyablement facile et pratique pour un décollage sur un terrain très escarpé, oui leur poids et volume sont très pratiques pour les vols rando, MAIS ! Ce manque de ressource pour l’atterrissage dû un tangage trop amortit est incroyablement dangereux pour des vrais vols montagnes avec du vrais matos montagne dans le dos qui pèse et qui demande un atterrissage le plus doux possible, ce qui n’est pas possible sans ressource ! Et leur manque de vitesse, de pénétration vous « scotchera » toujours dès que vous devrez avancer face au vent ce qui est bien-sûr souvent le cas en montagne !
Mais revenons à mon test de cette UFO… Je dirais que c’est la plus joueuse et la moins lente des simples surfaces que j’ai testé jusqu’à maintenant, donc bravo à Airdesign mais y’a encore du boulot pour en faire une vraie aile montagne…
Airdesing fait très fort en proposant cinq tailles allant de 13 à 20 mètres carrés en surface réelle ! Ils y croient vraiment😉..
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- Écrit par : Yvan Curdy
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Test du Cocon « Delight3 » de Sup’Air
Mon cocon préféré est depuis quelques années déjà le « Forza » d’Ozone mais comme il n’est plus fabriqué car un Forza2 devrait arriver bientôt, du moins c’est ce qui était annoncé, mais un virus semble-t-il a passé par là entre-temps et retardé sa sortie…
Du coup il fallait que je trouve une alternative pour mes clients et j’ai testé quelques nouveaux cocons dont la « Delight3 » et là très bonne surprise ! Pourquoi surprise me direz-vous alors que Sup’Air est avant tout un fabricant « légendaire » de harnais ? Parce que j’étais resté sur mon test de la première Delight que je n’avais pas aimé du tout à cause de son instabilité très prononcée. D’ailleurs un ami pilote à qui j’avais déconseillé d’acheter ce harnais et qui l’avais acheté quand-même en même temps qu’il changeait d’aile, m’avait avoué quelques temps plus tard qu’il avait regretté amèrement de ne m’avoir pas écouté, à tel point qu’il avait dû acheter un autre cocon…
C’est avec donc un apriori que j’ai testé cette Delight3 et comme j’ai bien fait car en plus d’être assez légère elle est très confortable et très stable, en tout cas bien plus que sa grand-mère la une !.. Elle pourrait l’être encore un poil de plus si on pouvait resserrer un tout petit peu sa ventrale mais bon ok je « chipotte »…
Je ne peux que vous conseiller de la tester car niveau poids-volume-confort il n’y a pas beaucoup mieux sur le marché en ce moment ! Ok ce n’est pas le cocon le plus léger mais vous connaissez ma théorie du fauteuil et du tabouret… et là avec cette Delight3 on a vraiment un super compromis !
En plus il peut être acheté comme premier cocon au vu de sa stabilité et simplicité, je le dis depuis quelques années déjà et je ne suis pas le seul, je me souviens d’avoir lu il y a plusieurs années un test dans le magazine « Parapente-Mag » de Philippe Lami qui disait : Avant de passer d’une aile A à B achetez un cocon !
C’est tellement vrai si vous aimez voler longtemps genre plus de deux heures régulièrement, un cocon vous changera la vie et vous fera voler encore plus longtemps tout en étant moins fatigué.
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Test de l’Arak Air de Skywalk
J’avais testé l’Arak « simple » en 2018, je l’avais trouvé vraiment sympa au pilotage, bien ciblée entre les « b gentille » et « b sport » un rapport performance – sécurité très intéressant, mais j’avais détesté le nombre incroyable de joncs pour une « b » qui se voulait en plus faite pour les voyage ! Lisez mon test sur ce lien.
Avec l’Arak Air, on retrouve le même plaisir en vol, les mêmes performances et la même sécurité avec en moins ou en plus… beaucoup moins de jonc ! Ah !!! Voilà une aile faite pour le voyage et les vols rando ! En plus un nouveau tissu très léger et là d’accord vous vous retrouvez avec une aile qui ne prend plus de place dans votre sac, c’est même impressionnant de voir ce petit volume une fois l’aile pliée !
Bravo Skywalk et merci d’avoir peut-être tenu compte de mes commentaires lors du test de l’Arak « simple » ?! 😉
Concernant le PTV soyez bien chargé pour profiter de sa vélocité.
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Test de la Savage de Sup’Air,
Après la « B gentille » et la « B sport » Sup’Air propose une « C » la Savage ! Rien que le nom peut faire peur… Ben en fait non ! Cette Savage reste certes une « C » mais qui a l’air vraiment sûr pour sa catégorie.
Niveau pilotage Sup’Air fait très fort à mes yeux avec la « Leaf2 light » la « Step light » et maintenant cette « Savage », car toutes les trois dans leur catégorie sont dans les plus joueuses que j’ai testé. Lorsqu’on passe de l’une à l’autre on retrouve une « patte Sup’Air » on sent tout de suite que nous restons dans la même famille et ça c’est une marque de grande qualité de conception.
Comme maintenant depuis quelques temps je ne prends plus de temps pour faire des comparatifs de performances entre les « C » car elles se valent toute à très peu de choses près.
Si vous chercher une « C » très maniable et vraient agréable en thermique, testez cette Savage. Je l’ai testé la S en étant au milieu de fourchette et je n’ai pas du tout été péjoré en maniabilité, donc à vous de voir quel ptv vous préférez ?
Encore une chose, cette Savage est faite en version light 3,8 kg pour la S ! 100 grammes de moins que la l'Alpina4 pour le même ptv.
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Vous pouvez tester toutes les tailles aux Ailes du Léman elles vont de XS à ML soit un ptv de 65 à 115 kg!